L’entrepreneuriat au féminin : comment confronter la peur du risque
Les statistiques de l’Indice entrepreneurial québécois 2016 révèlent que les hommes ont une plus grande propension à vouloir entreprendre que les femmes. L’entrepreneuriat au féminin existe pourtant! Portrait de deux femmes qui se sont lancées en affaires.
Clarisse Fournier a quitté sa France natale et a laissé un emploi en marketing pour faire aboutir à Montréal son projet entrepreneurial avec son conjoint et son meilleur ami. Anne-Sophie Riopel-Bouvier s’est lancée en affaires avec ses parents, tout en poursuivant sa carrière dans les Forces armées canadiennes.
Des entrepreneures qui n’ont pas froid aux yeux
« Les représentations du rôle de l’homme et de la femme sont telles qu’il y a encore beaucoup de préjugés. Mais je suis sûre qu’il y a 30 ans, le taux d’entrepreneuriat féminin était encore plus faible qu’il ne l’est aujourd’hui! », avance Mme Fournier qui, avec ses deux complices, a lancé On Mange Quoi? (OMQ), un service de plats prêts à manger et prêts à cuisiner offerts en machine distributrice. Clarisse Fournier n’a pas peur du changement : la preuve, elle passe de professionnelle en marketing à femme d’affaires dans un domaine très complexe et règlementé.
Fonceuse, Anne-Sophie Riopel-Bouvier abat les clichés un à un. Pilote et instructeur dans les Forces, elle travaille dans le domaine de la sécurité publique. Son entreprise EXO Tactik offre un service de soutien aérien spécialisé en sécurité publique par drone. Comme quoi même la sécurité publique peut profiter des dernières tendances en imagerie.
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Pour plus d'information sur l'entrepreneuriat au féminin, consultez l'Indice entrepreneurial québécois 2017 - Femmes entrepreneures : des données encourageantes du côté des jeunes et des nouvelles propriétaires d'entreprise.